Les jeunes présentant des troubles spécifiques des apprentissages (dyslexie, dysorthographie, dyscalculie, dysgraphie, dyspraxie) ont souvent tendance à se dévaloriser, et à aborder les situations d’apprentissage de façon négative. Ils éprouvent des problèmes affectifs en réaction à leurs difficultés.
La pratique de la sophrologie, associée aux prises en charges habituelles (orthophonie, psychomotricité…) offre à la personne « dys » la possibilité de développer une meilleure confiance en elle et en ses possibilités de compenser ses troubles.
Je propose aux enfants une version ludique de la sophrologie; j’utilise des jeux, des contes, du matériel pédagogique, adaptés à leur âge.
De plus en plus d’orthophonistes préconisent la sophrologie pour leurs patients ou se forment à sa pratique. (Nicolas Chaze, orthophoniste et sophrologue)